27.01.2024 par ro
num.336 mars 2024 p.09 Courrier de lecteur
Réponse à l’article de M. Dupanloup sur les marronniers du parc Lullin et le lierre. En tant que biologiste naturaliste, je suis très heureux d’habiter notre région où la vie sauvage a encore une certaine marge d’expression. Mon métier consiste à sensibiliser grands et petits aux richesses naturelles. C’est pourquoi je ne peux laisser passer les éternels clichés sur la nature, tels que « le lierre est un cancer pour les arbres ». Comment en arrive-t-on à considérer une plante ou un animal comme nuisible et indésirable ? Simplement en faisant passer ses intérêts personnels avant l’intérêt commun. Ce dernier étant dans ce cas la conservation de la biodiversité et de l’ensemble des plantes et des animaux qui peuplent l’écosystème depuis des millénaires. auteur : rédacteur occasionnel
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