num.286 mars 2019 p.01
Il y a 50 ans, c’était en l’an 1969, année érotique, l’homme faisait le premier pas sur la lune. Un petit pas pour l'homme, un grand pas pour l'humanité a dit Armstong, pas le trompettiste, l’autre, Neil.
Et dans notre monde, celui d’en bas, aucun pas, même petit, pour la protection de l’enfance, le néant.
Et à Versoix me direz-vous ? Pas de journal local, pas le moindre petit canard, même boiteux, une page blanche.
Heureusement, vint l’an 1989, année moins « érotique », mais plus pragmatique. lire la suite...
num.286 mars 2019 p.11
Versoix a été française de 1601 à 1814. Autant dire que ce petit bout de territoire au bord du lac a été un lieu de passage privilégié pour contourner Genève et ses douanes durant cette époque où protestants et catholiques se disputaient l'Europe. Le projet d'un port concurrent "Versoix-la-Ville" a été élaboré vers 1770. Encore aujourd'hui, il en reste de nombreux vestiges. La place voulue ronde au carrefour entre les routes de Sauverny et de Suisse, de belles bâtisses autour de Port-Choiseul ou le canal creusé à la main en 1785 depuis la Bâtie jusqu'au Nant de Braille. Il devait amener lire la suite...
num.286 mars 2019 p.15
Deux jeunes prodiges à la Galerie du Boléro le 17 mars 2019
Ch. J.-B.- Vandelle 8, Versoix à 17h – portes à 16h30
Entrée libre – chapeau à la sortie
Deux récitals successifs de piano lire la suite...
num.286 mars 2019 p.15
Ce vendredi 25 janvier, ce sont plus de 70 personnes qui sont venues au vernissage de l'exposition consacrée aux tableaux d'Arthur Morard, à l'Espace Patrimoine.
Le comité de l'Association du Patrimoine a réussi à réunir 23 toiles de l'artiste, grâce à plusieurs familles de la région qui ont accepté de prêter leurs tableaux.
Le président de l'APV n'a pas manqué de les remercier chaleureusement, ainsi que la Ville de Versoix qui a mis à disposition 5 toiles de sa collection.
Une intéressante présentation de l'oeuvre de Morard a été faite par Alain Rességuier. lire la suite...
num.286 mars 2019 p.15
Concert de musique classique au Boléro - Dimanche 27 janvier 2019
Ilan Zajtmann au piano
Bien connu des mélomanes versoisiens, Ilan Zajtmann, jeune pianiste de 17 ans est revenu pour la 6ème fois à Versoix offrir son talent à ce public qui l’attendait.
Après le « Prélude et Fugue » (BWV 861) de J.-S. Bach et la Sonate n°23 « Appassionata » de L. van Beethoven exécutés avec une grande rigueur pianistique que nous lui connaissons dès ses premiers concerts, Ilan a su nous fasciner une fois de plus avec l’interprétation d’œuvres de plus en plus complexes et exigeantes. lire la suite...
num.286 mars 2019 p.16
Culture, sport, moments de partage sont au menu de mars ! Bien évidemment, les activités habituelles se déroulent les après-midis au club de 14 à 17h00 : les lundis et vendredis sous le signe du jeu et de la convivialité, arts créatifs les mardis avec leurs points de rencontre les jeudis 7 et 21, ainsi que l'informatique les mercredis.
Toute personne intéressée par ce programme peut simplement passer pour se renseigner, elle sera accueillie avec plaisir !
Côté culture
- Le dimanche 3 mars à 17h00 lire la suite...
num.286 mars 2019 p.16
Telles les deux faces d'un miroir, à la galerie du Boléro le 10 février 2019, les deux récitals des jeunes pianistes ne furent qu'émotions partagées jaillissant de leurs personnalités convergentes : hauteur, largeur, profondeur, abandon et passion chez la toute jeune Vénélina Neuquelman.
Impressionnisme, intériorité et chaleur chez son aînée, Tatjana Draskovic.
Tout au long de son récital, Vénélina révéla, au-delà d'une construction rigoureuse et d'un jeu sobre, clair et limpide, un abandon, un jaillissement d'émotions juvéniles habité et riche de promesses. lire la suite...
num.286 mars 2019 p.16
A propos de la statue du Bourg
Pour faire suite à la lettre de L. Gargantini en réponse à l’article de Monsieur Pierre Dupanloup, je suis tout à fait d’accord que cette statue est hideuse et pourrait parfaitement disparaître du paysage versoisien. La statue ne rappelle que des aspects négatifs de Versoix, et n’est d’aucune beauté.
Celle de Montfleury m’attriste aussi, non seulement pour la faute d’orthographe, mais pour ce qu’elle représente dans un quartier plein d’enfants ayant certainement de meilleures aspirations…
Bryony Stahel