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6 articles pour cette sélection
17.10.2017 par ro
num.273 novembre 2017 p.08
A propos de l'aménagement de Versoix

Le monde a changé, l'évolution de la vie politique aussi. Il est temps de laisser la place aux jeunes. Versoix a grandi et évolué d'une manière qui m'échappe, en devenant une cité moderne qui a perdu pour moi un peu de son âme.

Une dernière fois, j'exprime mes craintes lire la suite...

01.11.2017 par ro
num.273 novembre 2017 p.13
A propos du projet Lachenal-Dégailler


J’ai été agréablement surprise par la décision de la Ville d’initier ce projet, de le rendre participatif et de mettre à disposition la maison du 6 Louis-Degallier.
Le workshop du week-end dernier était très original, intéressant et prometteur. J’ai eu du plaisir à y participer, dans une ambiance de travail, tout en étant très détendue.
Merci!!
Je regrette cependant qu’il n’y ait pas eu un article dans le dernier Versoix-Région pour expliquer la démarche et ainsi motiver les Versoisiens à se déplacer.
En effet, les flyers, bien que colorés et attrayants, étaient peu explicites pour, je pense, la majorité. Une explication «standard» en complément aurait rassuré et encouragé la population à venir.
J’ai regretté qu’il y ait si peu de participants versoisiens, et ai projeté ce manque de visibilité, car quand j’ai moi-même reçu ce flyer, j’étais tout d’abord très perplexe (festival, fête, séance d’info, workshop???).
Comme la maison du Projet est ouverte jusqu’à la fin de l’année, j’espère que la Mairie informera suffisamment pour que l’on puisse parler d’un vrai projet participatif et que tout cet engagement aboutisse à du concret utile et utilisable pour la suite.

Merci encore pour votre engagement,
Isabelle Stucki

21.10.2017 par ro
num.273 novembre 2017 p.13
La mauvaise réputation ... du Lion !

 J’ai lu avec perplexité le courrier du lecteur qui s’indigne de la nouvelle robe du lion siégeant devant le Restaurant « Le Lion d’or », établissement réputé de Versoix et qui, si j’en crois ma propre expérience, le restera !

Pourquoi consacrer tout ce temps à cette bagatelle ?
Pour imposer une vision ? Pour montrer insidieusement qu’il fait partie d’un groupe au goût sûr, homogène et convenable ?
Son recours au «nous» me semble à cet égard symptomatique et m’a rappelé une chanson de Brassens, décidément toujours d’actualité, intitulée «La mauvaise réputation» dont voici quelques vers :
… «J'ai mauvaise réputation ;
Que je me démène ou je reste coi,
Je pass’ pour un je-ne-sais-quoi.
Je ne fais pourtant de tort à personne,
En suivant mon ch’min de petit bonhomme ;
Mais les brav’s gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux…
Non, les brav’s gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux…
Tout le monde médit de moi,
Sauf les muets, ça va de soi… »

M. Gaio

21.10.2017 par ro
num.273 novembre 2017 p.13
Le Lion n'est pas mort

Le Lion n’est pas mort, Vive le Lion
(réponse au courrier paru dans notre dernière édition)

Cher admirateur déçu et anonyme.
J’ai lu avec attention et regrets votre récente missive concernant ma nouvelle robe !
La Suisse entière a applaudi au succès du relooking des vaches et des ours berlinois.
La Berne fédérale a exposé pendant 3 mois mes amis les Saint-Bernard également relookés (http://www.bernartiner.ch)...pourquoi ma transformation serait-elle ainsi une avanie ?
Avant que mes nouveaux propriétaires ne m’achètent, je n’ai entendu durant de longues et nombreuses années que des commentaires négatifs sur mes royales couleurs. A tel point que les habitués qui admiraient tant ma superbe n’ont eu d’autre espoir et demande que de me voir partir au cimetière non pas des éléphants mais des lions le plus rapidement possible.
Par bonheur une Versoisienne créative et malicieuse m’a donné une nouvelle chance et une nouvelle vie.


Depuis, le nombre de commentaires positifs a dépassé de loin les avis négatifs.
Certains me surnomment la Liache, d’autres le Vion, les enfants grimpent sur mon dos et jamais on n’a autant parlé de moi !

Si de peur que je ne morde (probablement à cause de votre pseudonyme Merguez Saignante) vous n’avez pas osé pousser la porte bicentenaire de cet établissement, je vous rassure, à l’intérieur, dans un cadre cosy et chaleureux vous y dégusterez des poissons frais du Léman et de la viande de bœuf tendre à souhait.
Le Lion d’Or n’étant pas un restaurant ethnique, vous n’y trouverez pas de viande de gazelle...d’où le clin d’œil à ma robe !


Si ma disparition devait vous permettre de venir nous rencontrer, discuter et dîner au Lion d’Or, alors je couvrirais mon pelage d’une couverture chaude pour l’hiver.
Dans tous les cas, Cher Merguez Saignante, que je sois retourné dans ma savane ou sur mes pâturages, vous êtes notre invité pour un dîner que je me ferai un plaisir de vous offrir à votre plus proche convenance !

Sans rancune et au plaisir de vous rencontrer

Le Lion d’Or

31.10.2017 par ro
num.273 novembre 2017 p.20
Hommage à Ernest Roder

C’était le 13 février 1960, à l’Auberge du Raisin.
La Société fédérale de gymnastique section de Versoix tenait son Assemblée générale. Ernest RODER succédait à William GUICHARD et devenait moniteur-chef sur proposition du Président Pierre WICHT. Une proposition accueillie « par de vifs applaudissements », lesquels témoignaient de l’estime et de la confiance dont jouissait Ernest.



Ernest RODER, né en 1932, fils de paysan et terrien de corps et d’âme, avait connu une enfance dure. Il avait eu le mérite d’autant plus remarquable d’ouvrir en 1960 une boucherie-charcuterie à la Rampe de la Gare, dans l’arcade précédemment occupée par le boulanger Mordasini. Il avait d’emblée rencontré le succès, parce qu’il était un excellent professionnel attaché à la qualité de ses produits, d’un abord sympathique et admirablement secondé par Simone, sa chère épouse, dans le soin à la clientèle.

Gymnaste invétéré, il avait connu une jolie carrière dans « les nationaux » (les disciplines gymniques historiques du pays, comme la lutte, le jet de la pierre, etc) marquée par nombre de distinctions fédérales et cantonales. Ses compères de l’époque étaient alors Emile CAILLAT, Willy VORAMWALD, Paul TESAURI.

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21.10.2017 par ro
num.273 novembre 2017 p.24
Le cri de Fabienne

Le cri de Fabienne

Les verts scient de vieux arbres pour enterrer les poubelles aux Fayards.
Les libéraux-radicaux souhaitent créer un parc de jeux au Molard.
Et la nature dans tout ce bourbier?
Politique énergétique nulle. Pourquoi ne pas supprimer les luminaires la nuit, il y aurait moins de déprédations ?
Plus particulièrement celles intempestives aux C.O. des Colombières, quand des profs oublient d’éteindre.
Cela dérange la faune nocturne et accessoirement la contribuable que je suis, car je paie la retraite des fonctionnaires dont celle de Serge dal Busco (qui m’écrit que ce problème versoisien est récurrent).
Aveugles et sourds ? Réveillez-vous!
Last but not least : les socialistes de piquer chez les riches.
Cette liste à la Prévert n’est pas exhaustive.
Et pendant ce temps, la Versoix coule tranquille.

Fabienne