Du 4 au 7 septembre s’est tenu à Mies, sur le terrain de polo de Veytay, un emplacement pour le moins étonnant mais qui s’est révélé très bien approprié, le premier festival de la Bonne Humeur dont l’un des buts est de faire découvrir, ou mieux connaître de nouveaux artistes suisses romands, d’où l’intérêt de la fondation Engelberts, qui aide à révéler et parraine de nouveaux talents.
Le festival était réparti en quatre soirées très variées : la première axée sur des sketchs comiques, la seconde dédiée à l’opéra, la troisième privilégiait la danse contemporaine et le flamenco et la dernière était consacrée au théâtre tragico-comique.

Le premier spectacle, s’intitulait « Mies dans ta gueule ! ». Ce fut une véritable réussite.
Différents humoristes se partageaient une partie du spectacle. Présentant pour tous les endroits, de Mies et sa région, jusqu’à la Suisse entière, toutes sortes de blagues, passant de l’humour gris (entre l’humour noir et l’humour classique !), aux jeux de mots les plus absurdes. Il y en avait pour tout les goûts ! ,

Mais pourquoi donc « Festival de la Bonne Humeur » ?
Pierre-Alain Schmidt, le fondateur nous explique dans son discours de lancement, « qu’il serait triste de vivre dans l’un des pays ayant l’une espérance de vie des plus longues si on ne pouvait pas en profiter pour être de bonne humeur ? ».
D’où le titre de ce festival et de son programme qui ont pour but de nous mettre de bonne humeur !
Pari réussi !

Valentine

La diversité du programme a enchanté les spectateurs venus pour saluer les artistes romands. Pour accueillir et sustenter les visiteurs tout au long de cette fin de semaine, l’Amicale de Mies et les ROP (Retraités Ou Presque) ont uni leurs forces pour apporter une touche gastronomique et conviviale à l’événement.
Quatre jours de bonne humeur qui n’auraient pas pu être imaginables sans le soutien des nombreux bénévoles présents avant et pendant la manifestation et des journalistes qui ont magnifiquement relayé l’événement dans la presse.

Séverine Malant